L’astuce du dimanche #17

Depuis environ deux semaines, Coquillette s’est mise à galoper partout à quatre pattes. Une vraie révolution à la maison, avec les dégâts qui vont avec… Ne vous méprenez pas, je suis toute contente de la voir progresser et s’amuser comme ça ! Mais il a quand même fallu remédier à quelques problèmes matériels. De ce côté-là, pas vraiment de révolution, je le crains… Je me suis contentée de planquer ce qui était à sa hauteur et qui pouvait l’être, mais je n’ai pas envie de vider tous mes meubles non plus. Je n’ai pas trouvé de solution mirale pour l’empêcher de mettre mes DVD par terre mais j’ai quand même trouvé une astuce qui permet de limiter un peu son intérêt pour eux. J’ai dispersé un peu partout dans mes meubles des jouets à elle, plus ou moins cachés, des livres interactifs par exemple ou des peluches qu’elle aime bien. Ainsi, elle a l’impression de faire une trouvaille et délaisse mes DVD quelques minutes. Seulement, oui, mais quelques minutes de répit, c’est déjà ça de pris !

Le must ? Des jouets qu’elle ne connaît pas. Je venais justement de récupérer des jouets que son cousin n’utilisait plus, ça tombait à pic, je les ai utilisés pour ça. Et j’ai vu un truc pas mal en me baladant dans un magasin de jouets : des faux téléphones portables, télécommandes, etc (marque Wondermaman)… qui ressemblent vraiment à ceux des adultes. J’aurais bien pris la télécommande (en plus elle parle même en anglais), vu l’intérêt de Coquillette pour les nôtres, mais le prix est quand même assez élevé pour ce que c’est… Mais si vous avez envie de flamber, ça pourrait bien être efficace !

Bon dimanche soir à tous !

Des fesses de schtroumpf : un remède contre l’érythème

Comme je vous le disais donc dans mon dernier article, Coquillette s’est payé un érythème fessier magistral. Elle a toujours été plutôt tranquille de ce côté là mais là, je peux vous dire qu’elle s’est rattrapée. Ca a commencé il y a quelques semaines, doucement d’abord, et puis les traditionnels liniments et Bepanthen ne suffisant pas, ça a empiré. J’ai testé une crème de change bio à l’oxyde de zinc, j’ai sorti l’éosine quand la situation est devenue critique, mais malgré tous mes efforts, rien n’y a fait. Les rougeurs semblaient s’estomper, puis revenaient au galop quelques heures plus tard, voire migraient légèrement, jusqu’à ce que l’ensemble de la zone soit rouge écarlate, à vif. Elle ne se plaignait pas encore trop, mais qu’est-ce que j’avais mal au coeur pour elle.

A court d’idées de traitement (je ne pouvais pas utiliser de cotocouches puisque ça suintait légèrement), je me suis mise à la méthode fesses à l’air. Autant vous dire qu’avec un bébé qui court partout à 4 pattes, ça fait du dégât. Moyenne : trois pipis par heure. Bonjour… Là encore, j’ai vu une légère amélioration, et puis ça a repris de plus belle.

Et puis au détour d’une conversation téléphonique avec la marraine de Coquillette, puéricultrice et qui mériterait le surnom de marraine la fée, j’évoque le problème. Je me demande encore pourquoi je ne me suis pas tournée plus tôt vers elle, bêbête que je suis… Elle me dit tout de suite que la crème Mitosyl est bien plus efficace que Bepanthen, et que si ça suinte, c’est du Bleu de Milian qu’il faut utiliser, plutôt que de l’éosine. Ni une ni deux, mon homme file à la pharmacie chercher tout ça pendant que je termine les bagages pour notre séjour en famille. Evidemment, rupture de stock pour le Bleu de Milian. « Vous aurez de la chance si vous en trouvez », nous annonce la pharmacienne. Après avoir téléphoné à cinq pharmacies, nous avons fini par en trouver quand même.

Image

Les fesses de Coquillette sont passées du rouge au bleu (eh oui, le Bleu de Milian c’est comme l’éosine, mais en bleu), mais dès le lendemain matin, on voyait du mieux. Je suis donc passée au Mitosyl, en remettant un petit coup de bleu une fois par jour, et là, le miracle a eu lieu. Cet érythème contre lequel on s’était battu pendant des semaines, on l’avait enfin vaincu. Bon, vus les dégâts déjà occasionnés, il va falloir un peu de temps avant qu’elle ne retrouve de jolies fesses toutes blanches, mais la situation n’a plus rien d’inquiétant ni de douloureux pour elle.

Il faut simplement prendre quelques précautions supplémentaires avec le Mitosyl, qui doit s’utiliser uniquement en traitement et pas en préventif, pas plus de trois jours, pas sur une trop grande zone, et pas sur les muqueuses. Au-delà des trois jours, j’ai donc continué à prendre soin de ses petits fesses avec la crème de change bio Natessance, que je trouve vraiment bien, efficace, bien couvrante.

Une dernière chose à propos du Bleu de Milian : ça colore vraiment bien en bleu, peau, vêtement, carrelage, tout ce que vous voulez. Ca part sans soucis au lavage si vous en mettez sur vos vêtements, et je trouve qu’on s’en débarasse plus vite que l’éosine quand on en a plein les mains. En revanche, et ça je le tiens de la pharmacienne, si vous en mettez par terre, ou sur votre lavabo par exemple, il ne faut pas laver à l’eau mais avec de l’alcool modifié, sinon vous allez l’étaler encore plus (il paraît que ça vaut pour l’éosine aussi).

Ce que je me demande maintenant, c’est pourquoi est-ce qu’on n’entend parler nulle part du Bleu de Milian ?? Même le Mitosyl, le nom me parle mais ne me serait jamais venu à l’esprit aussi naturellement que celui du Bepanthen. Je n’ai donc qu’une chose à dire : merci mille fois marraine la fée !

Come-back !

Me revoilà après quelques jours d’absence ! Je suis désolée de vous avoir laissés en plan mais là, je dois dire que pas mal de choses se sont cumulées au cours de la semaine écoulée. L’écran de mon PC m’a lâchée pour commencer, m’obligeant à racheter un nouveau joujou. Et puis ce week-end, soirée mariage pour laquelle nous avons laissé Coquillette un soir pour la première fois depuis sa naissance (quasiment un an, whoua !). Tels des fous que nous sommes, après avoir dormi quelques trois heures, nous avons ensuite enchaîné avec un séjour de 2 jours en Normandie à 3 à l’occasion de nos trois ans de mariage, je vous parlerai d’ailleurs de ce séjour très vite. Là-dessus, ajoutez un érythème fessier géant qui m’a causé bien du souci, une Coquillette qui s’est mise à refuser ses biberons et à se contenter de quelques cuillères de purée, des vaccins bien douloureux pour la mistinguette qui n’ont rien arrang, et une maman (coucou c’est moi) complètement crevée et qui se traîne… Mais c’est reparti, je reprends le clavier avec plein de choses à vous raconter dans les prochains jours : la solution miracle à l’érythème fessier, notre séjour de rêve en Normandie, Coquillette qui s’est mise à galoper partout à 4 pattes, et puis plein d’autres choses encore mais je ne vais quand même pas tout vous raconter maintenant !

Le top 5 des remarques qui m’ont tapé sur les nerfs

Des remarques sur la façon dont on choisit d’élever ses enfants, je pense que tout le monde en entend, et certainement pendant longtemps… Voici une compilation des « meilleures » que j’ai entendues depuis que Coquillette est arrivée :

 – Venant d’une personne de ma famille, qui vient me voir à la maternité deux jours après l’accouchement et dont le regard tombe sur mon ventre : « ben dis-donc, il y en a un deuxième ou quoi ? » Merci, ça fait toujours plaisir…

Image

– Trois semaines après la naissance de Coquillette, la pharmacienne à qui j’achète des sachets de conservation de lait maternel avise l’écharpe dans laquelle je porte mon bébé : « faites attention hein, entre l’écharpe et l’allaitement, vous risquez d’avoir une relation trop fusionnelle » Mmmmhh mmmhhh…

 

– « Il faut la laisser pleurer. Laissez-la respirer un peu ! » Plutôt classique cette remarque me direz-vous, mais c’est plus drôle quand on sait de qui elle vient, à savoir d’un jeune papa d’un bébé de 8 mois de plus que Coquillette qui ne voulait absolument pas d’enfant jusqu’au jour où, 48h avant l’accouchement, il a découvert que sa copine était enceinte (non non elle n’avait pas fait de déni, elle ne lui avait juste rien dit et lui n’avait rien vu, on se demande bien comment…cette histoire est un vrai mystère). Alors du jour au lendemain, le voilà qui se reconvertit en donneur de leçon pour élever un bébé. Le sien, pour l’endormir, il le met devant la TV. Chacun ses méthodes, mais que chacun se les garde !

 

– Je vais à la Sécu pour quelques renseignements concernant mon congé parental et mon congé maternité à venir pour cause de deuxième grossesse. J’explique ma situation et que je dois reprendre le travail fin juin, sauf que je suis à nouveau enceinte. « C’est embêtant », me répond la fille en face de moi, limite moqueuse. Ben non, pas vraiment, pas du tout même…

 

– Et puis il y a les remarques sur le fait qu’on n’aie pas encore fait garder Coquillette en soirée. Ce choix qu’on a fait jusqu’à présent m’a forcément valu d’être absente lors de quelques soirées entre amis. Et là, je ne vous raconte pas comme ça papote sur mon dos. Remarques venant de gens qui n’ont pas d’enfants, évidemment. Sinon, peut-être qu’ils comprendraient que tant que Coquillette se réveillait souvent la nuit et ne voulait voir que moi dans ces moments là, je ne pouvais pas m’absenter sous peine de faire vivre un calvaire à celui ou celle qui la garderait (notamment pendant la période d’angoisse du 8e mois), ou peut-être qu’ils comprendraient qu’on ne voulait pas non plus la laisser à n’importe qui, étant donné que nous habitons loin de notre famille et de nos amis qui ne pouvait donc pas forcément venir jusque chez nous pour la soirée. Ou peut-être qu’ils comprendraient que quand on rentre à 4h du matin mais qu’on doit quand même se lever à 6h30 pour le bébé, c’est dur…

 

Et vous, c’est quoi les remarques qui vous ont le plus agacé depuis que vous avez des enfants ?

Ce corps de femme enceinte

J’aime bien regarder de quelle façon mes lecteurs arrivent sur mon blog. Aujourd’hui, j’ai vu que quelqu’un était arrivé chez moi en tapant « ne supporte pas son corps enceinte » dans un moteur de recherche. D’abord, je me suis dit que c’était triste parce que pour le coup, ce n’est pas vraiment ce qui m’est resté comme impression de ma première grossesse. Et puis après quelques secondes de réflexion je me suis rendu compte que ce n’était pas tout à fait vrai. J’ai bien aimé être enceinte, ça c’est vrai, et j’ai été fière d’arborer mon gros bidon pendant les derniers mois mais…

D’abord, il y a ce que j’appelle la phase de transition. On commence à grossir, mais personne ne peut savoir pourquoi. En fin de compte, ça ressemble plus à de la graisse, surtout quand on n’est pas encore passé au pantalon de grossesse et qu’on est toute boudinée dans ses anciens pantalons. Je suis en plein dedans en ce moment ! C’est sûr que ce n’est pas ma phase préférée, et quand je vais à la piscine pour les bébés nageurs, j’essaye de dire le plus de fois possible haut et fort que je suis enceinte. Ridicule n’est-ce pas ? Surtout que les parents, aux bébés nageurs, franchement, ils n’ont d’yeux que pour leurs enfants. C’est mon cas d’ailleurs, et s’il y avait une maman enceinte de 8 mois 1/2 je ne la calculerais peut-être même pas (bon j’exagère peut-être un poil), alors ne parlons même pas de mon mini-bidon. Mais bon, difficile de se détacher de l’image que les autres ont de nous, malheureusement… Ceci dit, je sais que ce n’est qu’un transition, que ça ne va pas durer et je vis tout ça très bien malgré tout.

Finalement, ce qui a été beaucoup plus dur à gérer quand j’étais enceinte de Coquillette, c’était de ne plus pouvoir faire ce que je voulais avec mon corps. Je suis du genre à m’asseoir sur l’accoudoir du canapé en équilibre, à faire toutes sortes d’acrobaties pour le moindre geste du quotidien, et quand on n’arrive même plus à mettre ses bottes ou à s’épiler, c’est déjà plus difficile à vivre. Pas facile non plus de sentir ce poids qui est quand même fatigant à porter et qui rend des tas de choses pénibles à faire comme prendre une douche, fouetter la pâte d’un gâteau ou simplement faire la queue dans un magasin. En revanche, esthétiquement parlant, je n’ai jamais eu de mal à supporter mon corps de femme enceinte. J’étais très fière de mon ventre-ballon que je photographiais sous tous les angles. Ah si, les doigts boudinés c’est pas très glamour quand même, mais je le prenais à la rigolade plus qu’autre chose.

blog1

Volontairement, je ne parle pas des traditionnels maux de grossesse mais uniquement de mon ressenti. Oui, il y avait des choses un peu difficiles à supporter au quotidien. Mais non, ce n’est pas ce qui me vient à l’esprit en premier quand je repense à la grossesse. Ceci dit, je comprends très bien que ce soit plus dur pour certaines, nous vivons toutes les choses d’une manière différente. J’ai par exemple connu une fille qui ne pouvait envisager sous aucun prétexte de tomber enceinte parce qu’elle ne pouvait pas concevoir d’avoir un bébé dans le ventre.

Et vous, femmes enceintes ou ex-femmes enceintes, comment trouviez-vous cette femme dans le miroir ? Vous sentiez-vous à l’aise avec votre nouveau corps ?

L’astuce du dimanche du lundi (et oui encore !)

Décidément, je ne suis pas très assidue en ce moment ! Bon j’ai une excuse, je viens d’enchaîner trois anniversaires en cinq jours, avec cadeaux à préparer et soirée chez des amis ou repas en famille qui vont avec. C’est donc avec des cernes sous les yeux que je reprends le clavier pour l’astuce du dimanche avec un tout petit peu de retard !

Cette astuce m’a justement bien aidée ces jours derniers, c’est-à-dire en période de course contre le temps et de déménagement à droite à gauche. Je fais toutes les compotes (et purées) de Coquillette moi-même et j’y mets un point d’honneur. Si j’ai pris un congé parental, c’est justement pour pouvoir assumer ce genre de taches. Mais parfois, je suis à la bourre, il est 16h et je n’ai pas le temps de couper les pommes, les poires et les scoubidous pour les faire cuire et les réduire en bouillie, surtout qu’il y a un bébé impatient et affamé qui me hurle dans les oreilles. Alors dans ces cas-là, j’ai toujours une banane en stock et Coquillette mange un écrasé de banane minute. Je ne connais rien de plus rapide et elle adore ça ! Et si on est invités chez quelqu’un un après-midi, il suffit d’emmener la banane, sans que ça nécessite aucune préparation. Je peux vous assurer que c’est bien utile quand on est à la bourre pour partir, qu’il faut encore s’habiller, changer une couche et charger la voiture !

Sur ce, bon dimanche lundi à tous !

Reprendre soin de soi-même

Quand j’ai appris que j’étais à nouveau enceinte, comme pour la première fois d’ailleurs, une des premières choses que j’ai pensé c’est que j’allais devoir revoir mon hygiène de vie.

Mais cette fois-ci, la différence, c’est que ça impliquait bien plus de changements ! Je me suis rendu compte que cela faisait bien longtemps que je ne faisais plus attention à moi, à ma santé, à ce que je mangeais. Depuis la naissance de Coquillette, il n’est pas rare que je saute des repas pour gagner du temps, je dors rarement plus de 6h par jour, l’équilibre n’est plus vraiment à l’ordre du jour dans mes repas. Les besoins de ma fille passent systématiquement avant les miens, jusqu’à ce que j’oublie d’aller faire pipi pendant quasiment une journée complète.

Mais ça c’était avant.

Depuis que je sais que je suis enceinte, je ré-apprends à faire attention à moi, à m’écouter, à me reposer si j’en éprouve le besoin, je fais attention à ce que je mange et à quelle fréquence. Je mange tous les midis, même si Coquillette s’impatiente parce que je cuisine ou que je suis trop longue à manger. Quand Coquillette fait sa sieste, je m’assoupis moi aussi au lieu d’attaquer le repassage, ou je m’installe devant le PC avec une tisane et du chocolat. Le matin, je fais plus souvent ma paresseuse et je demande à mon homme de se lever pour le petit-déjeuner-qui-ne-peut-pas-attendre de notre fille. Le soir, quand j’ai couché Coquillette, je vais parfois (souvent) me prélasser dans un bain, et tant pis pour le ménage, il attendra demain.

Image

Et bien indépendamment de la grossesse, ces changements ont apporté un vrai plus à notre quotidien à tous. Je finis la journée en meilleur état, je suis de meilleure humeur en général, je suis plus disponible pour Coquillette mais aussi pour mon mari. Alors bien sûr, il faut que j’évite de penser à mon panier de repassage qui déborde tellement que c’est une honte mais retomber enceinte maintenant m’a fait du bien parce que j’ai ré-appris à penser à moi, et surtout, j’ai vu que c’était tout à fait possible. Même si les besoins de ma fille sont toujours ma priorité, ma santé n’est pas loin derrière parce que la santé du futur bébé en est la conséquence directe. J’espère juste que d’ici un an, un an et demi, je me souviendrai de ça et que je serai capable de penser à nouveau à moi malgré nos deux enfants, parce que vraiment, ça apporte de l’équilibre à ma vie.

L’astuce du dimanche #15

Dans trois semaines, on change d’heure ! Et dans le mauvais sens en plus… Pas facile pour nous de perdre une heure de sommeil et d’être décalés dans nos habitudes. Mais pensez un peu à nos petits bouts ! D’après les spécialistes, il leur faudrait un mois complet pour habituer leur organisme à cette heure de décalage. Depuis une semaine, j’ai donc commencé à décaler les horaires de Coquillette, 5 minutes par 5 minutes pour que ça passe comme une lettre à La Poste. Evidemment, c’est possible parce que je ne travaille pas, parce que dans 2 semaines, je vais me retrouver à la coucher avant 19h, ce qui est loin d’être pratique… Mais si vous en avez la possibilité et que votre bébé ou votre enfant a des horaires plutôt carrés en particulier à l’approche de l’heure du coucher, c’est le moment d’anticiper et d’avancer progressivement l’heure du repas, du bain, du coucher, etc… Attention ne vous trompez pas de sens ! Il faut avancer l’heure et non la reculer, sinon vous allez vous retrouver avec deux heures de décalage et là je vous souhaite bon courage ! En tout cas, ce serait bien plus simple sans ce changement d’heure, vous ne trouvez pas ?

Bon dimanche à tous !

Des Funky chaussons pour ma Coquillette

Si vous êtes des habitués de la blogosphère, vous avez très certainement déjà entendu parler de la marque Funky Giraffe et de ses fameux bavoirs bandanas ? Je louchais dessus depuis un moment quand j’ai été contactée par la marque qui m’a proposé de tester non pas les bavoirs, mais les autres produits qu’elle propose maintenant, à savoir pyjamas, bodies, bonnets, chaussons, etc…

J’ai accepté avec plaisir parce que je n’avais entendu dire que du bien de la marque, et j’ai reçu deux paires de chaussons et un pyjama dors-bien à croquer (ben oui il y a une fraise dessus !).

Image

Le pyjama est plutôt chouette, avec un col US mais pas de pieds. Il est fait dans un tissu assez élastique, ce qui permet de l’enfiler facilement au bébé. Et si je vous le précise, c’est parce que c’est ce que m’a dit mon homme, qui d’habitude a bien du mal à habiller Coquillette ! La boutique indique que le tissu est doux et hypoallergénique, et c’est vrai qu’il est tout doux et qu’il a l’air confortable à porter. Par contre il n’est pas très épais, donc je le classerais plutôt dans la catégorie des pyjamas de demi-saison. Côté taille, j’ai pris du 6-12 mois et il va nickel à Coquillette qui aura 11 mois le 10 mars mais qui est assez petite.

Un bon pyjama donc sans être non plus la découverte de l’année, c’est un pyjama quoi !

En revanche, là où j’ai eu un vrai coup de coeur, c’est pour les chaussons !

Image

Image

La photo est plus parlante mais je vous explique quand même : imaginez une paire de chaussettes à laquelle serait cousue une paire de ballerines en cuir. C’est très joli, très pratique, et Coquillette y a l’air très à l’aise ! Je ne suis pas une spécialiste des chaussons pour bébés mais personnellement, c’est la première fois que je vois ça et je suis vraiment séduite. J’ai pu choisir une paire assortie au pyjama avec une petite fraise et une autre bleue avec une ancre marine. Coquillette les porte presque tout le temps ! Evidemment, elle arrive à les retirer pour les mettre dans sa bouche, mais je n’ai pas encore trouvé de chaussettes ou de chaussons miracles qui lui résistent… En plus, les chaussons sont lavables en machine malgré le cuir, donc c’est parfait !

Image

Image

Un petit mot sur la marque elle-même enfin. Encore une fois, je ne suis pas là pour faire de la publicité mais je tiens quand même à parler d’un aspect qui me touche personnellement et guide mes décisions d’achat : l’éco-responsabilité. Je pense à la peau de ma fille et à ce qui traîne dessus et il se trouve que Funky Giraffe utilise un procédé d’impression textile écologique qui n’utilise aucun solvant ni produit nocif d’origine pétrochimique. Ca me rassure quand je lis des choses comme ça, et je ne suis donc pas inquiète de voir Coquillette enfourner ses chaussons Funky Giraffe dans la bouche comme si elle n’avait pas mangé depuis trois jours ! 

Quand je ne la comprends pas

Ma fille, je la connais comme si je l’avais faite, c’est le cas de le dire. Et pourtant, parfois, je ne la comprends pas du tout.

En général, je sais déchiffrer ses pleurs, anticiper ses réactions et comprendre les raisons de son attitude. Mais d’autres fois, elle ne me laisse que des questions.

Il n’y a pas si longtemps que ça, quand je faisais encore des siestes avec elle, j’avais par exemple remarqué qu’avant de s’endormir, elle se frappait la tête avec son poing. Et quand je dis frapper, je n’exagère pas, ça faisait un grand bruit et sa tête bougeait à chaque coup. J’essayais de l’en empêcher en mettant ma main mais elle la retirait pour recommencer de plus belle. Je me suis inquiétée, mais elle ne semblait pas se faire mal à n’avait pas ce genre de comportement à d’autres moments de la journée. J’ai attendu de voir si ça continuait mais apparemment, cela a cessé du jour au lendemain, comme ça avait commencé. N’empêche que je n’ai toujours pas compris pourquoi…

Image

En ce moment, elle progresse très vite côté motricité. Non seulement elle se déplace bien à 4 pattes même si c’est toujours à reculons , mais maintenant elle veut que je la tienne debout pour faire des petits pas. Dès que je la tiens en position, elle fait aller ses jambes à toute vitesse pour rejoindre les barreaux de son parc (parce qu’en fait, que je vous explique, elle joue à l’extérieur de son parc pour avoir plus de parc, le parc lui ne sert qu’à ranger les jouets…) auxquels elle s’accroche alors avec un grand sourire parce qu’elle est trop fière de tenir debout toute seule. Je mets des coussins tout autour d’elle pour éviter les bobos en cas de chute et je la laisse s’éclater comme ça. Mais d’un seul coup, ça ne va plus, elle se met à pleurer et c’est là que ça se gâte. Je ne comprends pas ce qu’elle veut : elle ne veut plus lâcher les barreaux mais pleure si je la laisse, elle ne veut pas s’asseoir, elle ne veut pas venir dans mes bras, elle ne veut pas de jouet mais elle pleure vraiment comme si c’était la fin du monde. J’ai une hypothèse bien sûr, à savoir qu’elle a peut-être envie de rester debout mais que ça lui demande un trop grand effort physique, mais je ne suis pas entièrement convaincue.

Bref, dans des cas comme ceux-là, je me sens vraiment démunie et bien embêtée parce que je ne comprends pas et que je ne sais donc pas quoi faire. Et vous, ça vous arrive ce genre de situations ?

 

PS : N’oubliez pas de participer au concours Asleep ! Il n’y a que 4 participations pour le moment mais je sais qu’il y a plus de parents que ça qui passent de mauvaises nuits !